Vous avez dit : une crise économique ? N'en y aurait-il pas plutôt deux
Posté le 25.07.2008 par djamazzVous avez dit : une crise économique ? N'en y aurait-il pas plutôt deux, pour le même prix ?
Trop nombreux sont ces analystes économiques qui évitent de débattre du lien fondamental entre la crise des prêts immobiliers (subprimes) et l'augmentation des prix de produits de base, comme le pétrole. Un commentateur de la National Public Radio (américaine) a même osé affirmer que le problème des prêts immobiliers résultait d'un « échauffement » de l'économie sui generis. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. L'effondrement des organismes de prêts immobiliers et le pétrole à 4-5 dollars le gallon sont les deux faces de la même erreur de calcul économique.
Vous avez dit : une crise économique ? N'en y aurait-il pas plutôt deux, pour le même prix ?
par Joachim Martillo
on EAAZI (Ethnic Ashkenazim Against Zionist Israel), 17 juillet 2008
http://eaazi.blogspot.com/2008/07/one-economic-crisis-or-two.html
traduit de l'anglais étazunien par Marcel Charbonnier
Trop nombreux sont ces analystes économiques qui évitent de débattre du lien fondamental entre la crise des prêts immobiliers (subprimes) et l'augmentation des prix de produits de base, comme le pétrole. Un commentateur de la National Public Radio (américaine) a même osé affirmer que le problème des prêts immobiliers résultait d'un « échauffement » de l'économie sui generis. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. L'effondrement des organismes de prêts immobiliers et le pétrole à 4-5 dollars le gallon sont les deux faces de la même erreur de calcul économique.
Vous trouverez à ce lien (en anglais, ndt) un passage de mon étude Le lobby sioniste et la société israélienne The Israel Lobby and American Society. J'y ai ajouté les passages en rouge afin de clarifier la nature de l'inflation qui n'avait pas encore réussi à s'évincer elle-même, dans le secteur pétrolier, au moment où j'ai rédigé cette analyse.
Le concept de 'subprime', en matière de prêt immobilier, trouve son modèle dans le vol des propriétés des Palestiniens dans les territoires palestiniens occupés, qui sont revendus à des détenteurs de prêts immobiliers juifs impécunieux. Voir à ce lien : Scamming Americans Robbing Palestinians.
Si le système israélien a 'fonctionné', c'est parce que les Etats-Unis n'ont cessé de financer la croissance économique israélienne, en particulier dans le secteur des technologies de pointe, durant les années 1980, au moyen d'aide financière gratuite accordée au gouvernement israélien sous l'empire des accords de Camp David, et en raison du fait que les Etats-Unis ont financé une expansion du nombre de candidat sionistes au logement, en aidant à la réinstallation de juifs soviétiques et ex-soviétiques en Israël (oups : en Palestine volée et occupée).
A l'époque du décollage du boom Internet, aux Etats-Unis, le secteur des technologies de pointe israélien, financé par les gouvernements américain et israélien, fut enclin à profiter de l'aubaine, et travailla d'arrache-pied afin de transformer le boom de l'Internet en la bulle de l'Internet, au moyen de la manipulation de réseaux socio-affairistes juifs non-officiels, qui existaient depuis longtemps au sein de l'industrie financière américaine, et que les sionistes américains et le gouvernement israélien se sont ingéniés à transformer, depuis les années 1970 (à travers des organisations telles que Aish haTorah) en un réseau social juif sioniste transnational israélo-américain, extrêmement soudé, caractérisé par une culture épistémique sioniste.
Une fois la bulle Internet installée, l'étape suivante consista à déménager les techniques du financement immobilier israéliennes des Territoires occupés vers les Etats-Unis, et cela creusa le lit du désastre des subprimes.
Le lobby israélien et la société américaine : l'échec du friedmanisme et la panique de Bernanke
Israel Lobby and American Society:
The Failure of Friedmanism and Bernanke's Panic
Durant le remodelage de la société américaine par les néoconservateurs, les Etats-Unis ont commencé à ressembler à la gare centrale du pays de l'Islamophobie, avec des attaques légales contre des associations caritatives musulmanes, contre des investissements arabes, la persécution de militants pro-palestiniens, des efforts visant à expulser des universitaires musulmans, la campagne politique visant à diaboliser Barak Obama, car musulman [Obama versus the Israel Lobby ], et la tentative des dirigeants juifs pour imposer un test d'allégeance à Israël aux musulmans avant qu'ils puissent participer totalement à la vie politique américaine.
En raison de la manipulation de l'économie américaine par la Judonie et le gouvernement israélien, cette islamophobie représente désormais une menace pour l'ensemble des Américains.
Le fait de réduire les impôts tout en faisant marcher la planche à billets pour mener la « guerre contre le terrorisme » a eu pour effet de créer des conditions économiques grosses d'une menace d'inflation rampante, en dépréciant la monnaie, avec une augmentation concomitante du prix des produits importés. Greenspan et Bernanke ont réagi en augmentant graduellement les taux d'intérêt.
Si le plan néoconservateur friedmanien consistant à privatiser l'économie irakienne, puis l'économie libanaise, puis l'économie soudanaise, puis l'économie iranienne après le succès de séquences de guerre, d'interventions et de changements de régime politique, les nouveaux canaux de revenus coloniaux auraient pu générer une réelle croissance, qui aurait fait augmenter la valeur des biens immobiliers. Seulement voilà, le programme a foiré, dans chacun de ces pays, et Bernanke a augmenté les taux de prêt, tandis que la valeur des biens immobiliers connaissait une stagnation. Résultat : Bernanke a provoqué l'effondrement du marché des subprimes, et il a plongé les Etats-Unis dans la récession, voire, possiblement, dans la dépression économique, tandis que la valeur du dollar ne cessait de s'effriter inexorablement.
Pour sauver (leur) économie, les Etats-Unis ont besoin d'une croissance authentique, qui est pratiquement impossible à obtenir tant que les Etats-Unis continueront à brûler du fric dans l'occupation de l'Irak. Les garants des banques de Wall Street, comme Bear Stearns, aident trois groupes indissociables, constitués de certains membres de la Judonie, des plus puissants des représentants des réseaux ethniques juifs dans l'industrie de la finance et des amis du Président.
Non seulement de tels cadeaux monétaires aux riches et aux puissants n'apportent strictement aucun bénéfice à l'immense majorité des Américains, mais ils représentent une reprise du sauvetage financier, déjà mentionné, des membres de l'aristocratie allemande durant la Longue Dépression, qui a débuté en 1873.
A ce stade, les Arabes du Golfe et le gouvernement chinois ont autant intérêt à sauver l'économie américaine que les Américains ordinaires, parce que les Arabes sont riches en dollars, tandis que les Chinois détiennent une quantité effroyables de créances des Etats-Unis. Pourtant, en raison des tentatives déployées par Summers et ses amis, visant à pérenniser la domination des juifs sur Wall Street [Zionist Control: Sovereign Wealth Funds?], la tentative de vamper les musulmans d'organisations telles que le David Project, la xénophobie obsédée de sécurité qui a fait queuter l'acquisition d'Unocal (pétrolière américaine) par Cnooc (pétrolière chinoise) [Chinese Drop Bid To Buy U.S. Oil Firm ], et la tentative de la communauté juive organisée de détourner l'attention des crimes israéliens et néocons en Palestine, en Irak et au Liban en diffamant le Soudan et la Chine, les investisseurs arabes et le gouvernement chinois sont réticents à apporter le fric nécessaire et à déployer les efforts indispensables pour sauver l'économie américaine, même si cela leur serait vraisemblablement profitable, et même si cela aurait pour effet de protéger la valeur de leurs avoirs actuels aux Etats-Unis.
Mercredi 23 Juillet 2008
Trop nombreux sont ces analystes économiques qui évitent de débattre du lien fondamental entre la crise des prêts immobiliers (subprimes) et l'augmentation des prix de produits de base, comme le pétrole. Un commentateur de la National Public Radio (américaine) a même osé affirmer que le problème des prêts immobiliers résultait d'un « échauffement » de l'économie sui generis. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. L'effondrement des organismes de prêts immobiliers et le pétrole à 4-5 dollars le gallon sont les deux faces de la même erreur de calcul économique.
Vous avez dit : une crise économique ? N'en y aurait-il pas plutôt deux, pour le même prix ?
par Joachim Martillo
on EAAZI (Ethnic Ashkenazim Against Zionist Israel), 17 juillet 2008
http://eaazi.blogspot.com/2008/07/one-economic-crisis-or-two.html
traduit de l'anglais étazunien par Marcel Charbonnier
Trop nombreux sont ces analystes économiques qui évitent de débattre du lien fondamental entre la crise des prêts immobiliers (subprimes) et l'augmentation des prix de produits de base, comme le pétrole. Un commentateur de la National Public Radio (américaine) a même osé affirmer que le problème des prêts immobiliers résultait d'un « échauffement » de l'économie sui generis. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. L'effondrement des organismes de prêts immobiliers et le pétrole à 4-5 dollars le gallon sont les deux faces de la même erreur de calcul économique.
Vous trouverez à ce lien (en anglais, ndt) un passage de mon étude Le lobby sioniste et la société israélienne The Israel Lobby and American Society. J'y ai ajouté les passages en rouge afin de clarifier la nature de l'inflation qui n'avait pas encore réussi à s'évincer elle-même, dans le secteur pétrolier, au moment où j'ai rédigé cette analyse.
Le concept de 'subprime', en matière de prêt immobilier, trouve son modèle dans le vol des propriétés des Palestiniens dans les territoires palestiniens occupés, qui sont revendus à des détenteurs de prêts immobiliers juifs impécunieux. Voir à ce lien : Scamming Americans Robbing Palestinians.
Si le système israélien a 'fonctionné', c'est parce que les Etats-Unis n'ont cessé de financer la croissance économique israélienne, en particulier dans le secteur des technologies de pointe, durant les années 1980, au moyen d'aide financière gratuite accordée au gouvernement israélien sous l'empire des accords de Camp David, et en raison du fait que les Etats-Unis ont financé une expansion du nombre de candidat sionistes au logement, en aidant à la réinstallation de juifs soviétiques et ex-soviétiques en Israël (oups : en Palestine volée et occupée).
A l'époque du décollage du boom Internet, aux Etats-Unis, le secteur des technologies de pointe israélien, financé par les gouvernements américain et israélien, fut enclin à profiter de l'aubaine, et travailla d'arrache-pied afin de transformer le boom de l'Internet en la bulle de l'Internet, au moyen de la manipulation de réseaux socio-affairistes juifs non-officiels, qui existaient depuis longtemps au sein de l'industrie financière américaine, et que les sionistes américains et le gouvernement israélien se sont ingéniés à transformer, depuis les années 1970 (à travers des organisations telles que Aish haTorah) en un réseau social juif sioniste transnational israélo-américain, extrêmement soudé, caractérisé par une culture épistémique sioniste.
Une fois la bulle Internet installée, l'étape suivante consista à déménager les techniques du financement immobilier israéliennes des Territoires occupés vers les Etats-Unis, et cela creusa le lit du désastre des subprimes.
Le lobby israélien et la société américaine : l'échec du friedmanisme et la panique de Bernanke
Israel Lobby and American Society:
The Failure of Friedmanism and Bernanke's Panic
Durant le remodelage de la société américaine par les néoconservateurs, les Etats-Unis ont commencé à ressembler à la gare centrale du pays de l'Islamophobie, avec des attaques légales contre des associations caritatives musulmanes, contre des investissements arabes, la persécution de militants pro-palestiniens, des efforts visant à expulser des universitaires musulmans, la campagne politique visant à diaboliser Barak Obama, car musulman [Obama versus the Israel Lobby ], et la tentative des dirigeants juifs pour imposer un test d'allégeance à Israël aux musulmans avant qu'ils puissent participer totalement à la vie politique américaine.
En raison de la manipulation de l'économie américaine par la Judonie et le gouvernement israélien, cette islamophobie représente désormais une menace pour l'ensemble des Américains.
Le fait de réduire les impôts tout en faisant marcher la planche à billets pour mener la « guerre contre le terrorisme » a eu pour effet de créer des conditions économiques grosses d'une menace d'inflation rampante, en dépréciant la monnaie, avec une augmentation concomitante du prix des produits importés. Greenspan et Bernanke ont réagi en augmentant graduellement les taux d'intérêt.
Si le plan néoconservateur friedmanien consistant à privatiser l'économie irakienne, puis l'économie libanaise, puis l'économie soudanaise, puis l'économie iranienne après le succès de séquences de guerre, d'interventions et de changements de régime politique, les nouveaux canaux de revenus coloniaux auraient pu générer une réelle croissance, qui aurait fait augmenter la valeur des biens immobiliers. Seulement voilà, le programme a foiré, dans chacun de ces pays, et Bernanke a augmenté les taux de prêt, tandis que la valeur des biens immobiliers connaissait une stagnation. Résultat : Bernanke a provoqué l'effondrement du marché des subprimes, et il a plongé les Etats-Unis dans la récession, voire, possiblement, dans la dépression économique, tandis que la valeur du dollar ne cessait de s'effriter inexorablement.
Pour sauver (leur) économie, les Etats-Unis ont besoin d'une croissance authentique, qui est pratiquement impossible à obtenir tant que les Etats-Unis continueront à brûler du fric dans l'occupation de l'Irak. Les garants des banques de Wall Street, comme Bear Stearns, aident trois groupes indissociables, constitués de certains membres de la Judonie, des plus puissants des représentants des réseaux ethniques juifs dans l'industrie de la finance et des amis du Président.
Non seulement de tels cadeaux monétaires aux riches et aux puissants n'apportent strictement aucun bénéfice à l'immense majorité des Américains, mais ils représentent une reprise du sauvetage financier, déjà mentionné, des membres de l'aristocratie allemande durant la Longue Dépression, qui a débuté en 1873.
A ce stade, les Arabes du Golfe et le gouvernement chinois ont autant intérêt à sauver l'économie américaine que les Américains ordinaires, parce que les Arabes sont riches en dollars, tandis que les Chinois détiennent une quantité effroyables de créances des Etats-Unis. Pourtant, en raison des tentatives déployées par Summers et ses amis, visant à pérenniser la domination des juifs sur Wall Street [Zionist Control: Sovereign Wealth Funds?], la tentative de vamper les musulmans d'organisations telles que le David Project, la xénophobie obsédée de sécurité qui a fait queuter l'acquisition d'Unocal (pétrolière américaine) par Cnooc (pétrolière chinoise) [Chinese Drop Bid To Buy U.S. Oil Firm ], et la tentative de la communauté juive organisée de détourner l'attention des crimes israéliens et néocons en Palestine, en Irak et au Liban en diffamant le Soudan et la Chine, les investisseurs arabes et le gouvernement chinois sont réticents à apporter le fric nécessaire et à déployer les efforts indispensables pour sauver l'économie américaine, même si cela leur serait vraisemblablement profitable, et même si cela aurait pour effet de protéger la valeur de leurs avoirs actuels aux Etats-Unis.
Mercredi 23 Juillet 2008